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 OLYMPE • FONDA • les mots que l'on ne dit pas

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Olympe-Syloë Grayson
Olympe-Syloë Grayson
❀ date d'inscription : 19/08/2013
❀ écrits sur le site : 345
❀ célébrité : lucy kate hale
❀ âge : 24 ans
❀ statut amoureux : célibataire, mais plus tout à fait coeur à prendre

OLYMPE • FONDA • les mots que l'on ne dit pas Empty
MessageSujet: OLYMPE • FONDA • les mots que l'on ne dit pas   OLYMPE • FONDA • les mots que l'on ne dit pas EmptyMer 19 Fév - 17:31

Olympe-Syloë Grayson

il y a des mots qui brûlent mes rêves, tant d'interdits sur mes lèvres, que je n'avoue pas



- nom - Grayson est le nom de famille que j’ai hérité de mon père, la seule chose qu’il me reste de lui et même si je suis fière de le porter, il a longtemps été très difficile à accepter pour moi - prénom - Olympe-Syloë, le plus souvent je m’arrête au premier, pourquoi utiliser un prénom composé ? Mais mes parents ne parvenaient pas à n’en choisir qu’un et à départager, alors ils m’ont donné les deux pour se faciliter les choses, et me compliquer la vie. Olympe était le prénom d’une arrière-grand-mère et Syloë la réunion de leurs deux prénoms - surnom - le plus souvent on abrège mon prénom à Oly ou mon nom en Gray, en dehors de ca les surnoms ne sont pas vraiment mon truc, mais vous pouvez toujours - date et lieu de naissance - je suis née le 06 aout 1989 dans une grande ville américaine très connue, nommée New York - âge - 24 ans, je vais sur mes 25 ans - groupe - il parait que je fais partie des romantico - sexualité - à priori hétérosexuelle, mais je n’ai jamais vraiment essayé quoi que ce soit avec une femme donc à voir, même si à l’heure actuelle ca ne me tente pas vraiment - statut amoureux - officiellement célibataire, mais j’avoue que j’ai déjà fait quelques rencontres et que mon cœur pourrait bien être déjà prit - emploi - webmaster pour le site de rencontre et coach pour les âmes perdues qui ont besoin d’aide et de conseils

- caractère - Les gens qui ont réussit à m’approcher et qui ont appris à me connaitre sauront certainement me décrire bien mieux que je ne le pourrais jamais. Alors autant les laisser faire cette description de moi et de mon caractère. Soukaïna, ma cousine et meilleure amie : Ah, Olympe et son fichu caractère … comment vous le décrire le plus fidèlement qui soit ? Elle est à la fois adorable et attentionnée. Toujours aux petits soins avec les autres, elle a la fâcheuse habitude de faire passer ses proches et leurs besoins avant elle et les siens. Elle ne sait pas ce que c’est d’être individualiste ou d’égoïsme, ce n’est simplement pas elle ou sa personnalité. Elle fait toujours ce qu’il faut pour faire plaisir aux gens qui l’entourent et pour qu’ils aillent bien quitte à se mettre elle-même en danger ou en retrait. Mais ce n’est pas tout, elle est également fonceuse et bagarreuse, elle sait ce qu’elle veut, se donne toujours à 300% et surtout elle serait quasiment capable de tuer pour quelque chose qui lui tiendrait vraiment à cœur. Enfin, elle ne l’a jamais prouvé mais je suis sure qu’en amour elle serait du genre protectrice et jalouse, vous n’avez pas intérêt à approcher de trop près celui qu’elle aime ou qu’elle convoite, sinon vous risquez de découvrir une véritable lionne. Kareen, ma mère : J’ai beau l’avoir vu grandir, l’avoir élevé, je dois bien avouer qu’Olympe me surprend chaque jour et je sais que ce n’est pas finit encore. C’est une jeune femme forte et courageuse, bien plus que moi ou que son père. Elle sait ce qu’elle veut, ne recule pas une fois qu’elle est lancée dans une voie et peut défier tous les avis et conseils de son entourage pour ce qu’elle pense bon pour elle. Elle affronterait sans soucis tous les problèmes qui pourraient se présenter sur son chemin et son courage est sans borne, au point qu’elle pourrait presque mettre sa vie en danger. Elle est un peu trop spontanée et fonce dans le tas sans forcément prendre le temps de réfléchir et cela même si elle est très intelligente et réfléchie la plupart du temps. Maintenant qu’elle nous a quitté pour vivre ailleurs, je me rends compte que nous sommes surement allez trop loin avec elle, que nous étions trop protecteur, mais c’est surement grâce à nous qu’elle s’est forgée un tel caractère. Elle peut supporter beaucoup de choses sans rien dire, jusqu’à faire croire qu’elle n’a pas de cœur, que rien ne la touche, mais en réalité elle est très sensible, se laisse souvent guider par ses proches pour ne pas les décevoir quitte à se perdre elle-même. Je pourrais vous parler d’elle pendant des heures et vous dire bien des choses sur elle, mais le meilleur moyen pour vraiment tout savoir, c’est de la découvrir vous-même et vous apprendrez surement bien plus de choses que ce que je pourrais encore vous dire. Apprenez à la connaitre pour savoir qui elle est.
- passé amoureux - je n’ai jamais eut de véritable histoire d’amour malgré mon âge. Oui je sais c’est étonnant mais c’est la réalité. J’ai trainé avec quelques garçons quand j’étais à l’université, mais jamais rien de plus.
- la découverte du site et de la ville - par un complet hasard, je cherchais un endroit où aller pour échapper à l’emprise de mes parents, je cherchais un endroit discret et loin de chez moi et je suis tombée sur un article sur la ville d’Astoria en Italie. Je ne savais même pas ce dont il était question, juste que c’était suffisamment loin et original pour que je puisse disparaitre et que mes parents ne me retrouvent pas.
- ce que vous recherchez - au départ un lieu d’asile, un abri pour m’éloigner de mes parents, mais à présent que je découvre la ville et le site de rencontre, pourquoi pas en profiter aussi pour trouver l’amour auprès d’un homme qui me ferait découvrir ce que l’amour est vraiment.


Toutes les histoires ont leurs histoires

Eté 1989. Une petite clinique de New York, au service maternité, une jeune femme se présente parce qu’elle a des contractions depuis des heures. Elle restera à la clinique durant quelques jours, et n’en repartira pas tout de suite avec son bébé. Ce bébé c’est moi. Mes parents étaient encore assez jeunes, mais ils avaient eut du mal à m’avoir, ma mère ne parvenant pas à tomber enceinte naturellement. Je suis donc le résultat de près de dix ans de fécondation in vitro. Et finalement c’est lorsqu’ils ont décidé de laisser tomber, qu’ils pensaient à changer de méthode, que ma mère est tombée enceinte le plus naturellement du monde. La vie est bizarrement faite tout de même. Le combat fut difficile et ma mère faillit me perdre à plusieurs reprises durant la grossesse. Mais elle s’est accrochée, moi aussi et je suis là maintenant. Je suis née par un jour ensoleillé d’Aout, mais un peu trop tôt encore, j’étais prématurée. J’ai donc passé plus d’un mois à l’hôpital avant de pouvoir enfin rejoindre la maison familiale. De tout cela je n’ai aucun souvenir bien entendu, j’étais trop petite, mais le récit de cette histoire résonne à chaque seconde dans mon esprit.

Septembre 1994. J’avais 5 ans à présent et je réclamais constamment un petit frère ou une petite sœur. Je ne parvenais pas à comprendre pourquoi je n’avais pas le droit d’en avoir un. Pourquoi étais-je fille unique quand tous les enfants que je voyais avaient des frères ou des sœurs ? Maman m’expliquait les choses comme elle pouvait, mais ce n’était jamais assez clair pour moi. Enfin quand je dis « tous les enfants » c’est assez subjectif car en réalité je ne vois pas grand monde en dehors de ma famille et de ma nourrice. J’ai oublié de préciser que mes parents étaient riches, très riches et avec le mal qu’ils avaient eut pour m’avoir, ils ne voulaient pas prendre le moindre risque. Je restais donc à la maison en quasi permanence, sous la surveillance de nourrices dont j’étais presque plus proche que de mes propres parents. Je passais toutes mes journées avec des étrangères qui me connaissaient mieux que mes propres parents. « Ma chérie voici Louane. C’est ta nouvelle nourrice. » La petite fille que j’étais regardais la jeune femme en face d’elle, ne comprenant pas bien ce que sa mère venait de lui dire. « Et Sara, elle est où ? » « Elle n’était pas là pour longtemps tu le savais, et elle a dut s’en aller. » L’obligation de s’en aller, je ne l’ai sut que plus tard c’était un ordre donné par mes parents. Mes nourrices ne restaient pas avec moi plus de quelques mois pour éviter que je m’attache trop à elles et que je devienne trop familière. Ma mère ne voulait pas prendre le risque que je m’attache à quelqu’un plus qu’à elle. [ … ] Un peu plus tard cette année là, ou la suivante je ne sais plus, je découvrais pour la première fois les joies du parc et de jouer avec d’autres enfants. La seule et unique fois durant mon enfance où je pus jouer avec des enfants qui n’étaient pas de ma famille. Louane fut renvoyée pour m’avoir emmenée hors de la maison sans l’accord de mes parents. Une nouvelle nourrice arriva à sa place, plus âgée et beaucoup plus sévère et celle-ci resta bien plus longtemps que les autres auprès de moi. Beth était gentille même si elle me grondait souvent sans raison valable. Je me résignais rapidement à ne plus jamais sortir de la maison, Beth en avait reçu l’ordre et mon seul contact avec l’extérieur était un précepteur. Durant de longues années, c’est lui qui m’apprit tout ce dont j’avais besoin et tout ce que j’aurais put apprendre en allant à l’école.

Printemps 2005. Les années passèrent sans que les choses changent. Je suivais toujours des cours avec mon précepteur, mes parents refusaient toujours de me laisser sortir et mes seuls amis étaient les autres enfants de ma famille et quelques enfants d’amis de mes parents qui venaient parfois pour des diners. J’avais à présent 16 ans, l’adolescence se faisait de plus en plus sentir et mes envies d’évasion prenaient le dessus. Un soir, profitant de l’absence de mes parents, je fis le mur, quittant la maison sans que personne ne me remarque et allant me balader en ville. Je n’avais aucune idée de ce que je pourrais trouver, encore heureux à l’époque. Je me mettais à déambuler dans les rues sans savoir où j’allais jusqu’à ce que je voie des jeunes de mon âge sortir en masse d’un endroit dont je ne savais rien. Je les suivais un peu avant que l’un d’eux m’aperçoive et vienne vers moi. « Salut. Je te connais pas toi. » « Je m’appelle Olympe. Je suis … nouvelle en ville. » « Ah … et tu viens d’où ? » « De … hum … de Californie. » « Trop cool ca. » « Vous faites quoi là ? » « On boit un peu et on va en boite, ca te dit de te joindre à nous ? » « En boîte ? » « Ben oui, ca existe pas en Californie peut-être ? » « Si bien sur, c’est juste que je n’y allais jamais. » « Ouais, si tu le dis. » C’est ainsi que commença cette soirée qui était la première que je passais hors de la maison. Je n’avais jamais entendu parler de boite de nuit, de bar, d’alcool et de drogues. Enfin si j’en avais entendu parlé, mes parents disaient toujours que ce n’était pas correct, mais ils n’en parlaient jamais avec moi et ce soir là je me retrouvais dans une situation que j’aurais préféré ne pas vivre. L’alcool ne me réussissait pas, l’effet de la drogue sur les autres m’effrayait et mes parents m’attendaient de pied ferme lorsque je rentrais finalement chez moi. C’était ma toute première expérience en dehors de la maison, ma première vraie sortie seule et ce ne fut pas une réussit loin de là. Je me retrouvais avec la gueule de bois en n’ayant bu à peine un vers, et punie durant des mois par mes parents pour « être surs que je ne renouvellerais pas l’expérience ». C’est à cette époque là qu’une révélation se faisait à moi : mes parents avaient surement raison de me protéger ainsi et je ferais mieux de suivre leurs conseils.

2008. C’est ainsi que j’obtenais mon diplôme de lycée sans jamais avoir mis les pieds à l’école et que sous les conseils de mes parents je débutais des études de droit. A l’époque, plus d’alternative, c’était l’université obligatoire. Je sortais du cocon familial pour la première fois depuis bien longtemps et l’adaptation fut plutôt brutale. Tout le monde me regardait comme une bête curieuse, surpris de découvrir après autant de temps que j’existais. Car la famille Grayson était très connue à New York. Tout le monde savait qu’ils avaient une fille mais personne ne m’avait jamais vu en ville, enfin en dehors des amis de mes parents. Je me retrouvais donc lâchée dans un univers complètement étranger et relativement hostile ou j’appris à me faire ma place malgré tout. En quelques semaines je n’étais plus le centre d’attention, je pouvais enfin me détendre. Il me fallut cependant quelques mois pour me sentir à l’aise et ne plus me contenter de sortir uniquement pour rejoindre l’université ou la maison où j’habitais toujours avec mes parents. Ce n’est qu’après six mois de cours que je me faisais mes premiers vrais amis et que je réalisais que vivre dans une bulle comme je l’avais toujours fait n’était pas normal. Je voulais alors prendre mon indépendance, sortir de chez moi et découvrir la vie et le monde en dehors de la maison. Mais le souvenir de ma première expérience en dehors était tellement négatif que je n’osais pas aller de l’avant. Il fallut trois mois de plus pour qu’une amie parvienne à me faire sortir un soir et oublier définitivement mon expérience passée. Je sortais alors plus souvent, me passionnais à cette époque là pour les ordinateurs, internet et tout ce qui y était lié. Je prenais quelques cours sur le sujet en même temps que mes cours de droit, prenant garde de n’en rien dévoiler à mes parents. Je prenais mes études au sérieux et j’étais convaincue d’aimer le droit, de vouloir en faire ma vie.

2010. Jusqu’à ce que je loupe un examen et que tout cela s’écroule. En l’espace de deux ans, l’informatique et surtout l’infographie a prit plus de place dans ma vie et je délaissais légèrement le droit. Cette mauvaise note ne déclencha absolument rien chez moi, je m’en fichais, alors que mes parents voyaient cela comme un fait inadmissible, moi je me disais que je réussirais mieux la prochaine fois. Sauf que je ne voulais pas de prochaine fois. Ce fut le déclic après une discussion avec une amie. « Dis moi, pourquoi tu fais ces études de droits ? » « Pourquoi tu demandes ca ? J’aime le droit tout simplement. » « Toi qui a passé presque 20 ans dans ta bulle, tu as eut l’occasion de découvrir ce que c’était que le droit ? » « Oui, papa en parlait souvent, c’est son boulot après tout et j’aimais bien l’écouter en parler. » « Parce que c’était ton père qui t’en parlait, pas forcément parce que tu aimais cela. » « Qu’est-ce que tu veux dire au juste ? » « Le droit ca t’es venu comment ? Qu’est-ce qui t’a décidé à l’étudier ? » « Je sais pas … mes parents surement. » « Et l’info, ca te vient d’où ? » « Je ne sais pas, je crois que j’aimais bien ca et j’ai voulu en apprendre plus. » « Alors pourquoi tu continues le droit ? » « Parce que l’informatique ca fait pas vivre les gens. » « Comment tu sais ca ? » « C’est mon père qui … rah … arrête avec tes questions ! » Je ne voulais pas débattre là-dessus pendant des heures, ca n’avait pas de sens, je n’allais pas tout plaquer, laisser tomber mes études de droit pour vivre de l’informatique, d’une passion. Et pourtant c’est ce que j’ai finit par faire au fil des mois. J’abandonnais doucement le droit, manquant de plus en plus de cours pour assister aux cours d’infographie. Mes parents ne se doutaient de rien et je parvenais enfin à faire ce que je voulais. Jusqu’à ce que j’obtienne mon diplôme et que mes parents comprennent leur erreur. Ils n’avaient pas fait assez attention à ce que je faisais et ne découvraient que trop tard que je n’étais pas diplômée en droit, mais en informatique. Et je comptais bien en vivre.

Avril 2013. Voilà deux ans que j’avais obtenu mon diplôme et que je vivais de petits boulots. Je n’avais pas encore trouvé de véritable place en temps que webmaster ou infographiste. Mes parents faisaient jouer leurs relations pour me mettre des bâtons dans les roues, convaincus que je rentrerais dans le droit chemin par la suite. Je les aimais et je n’arrivais pas à les quitter même si j’avais pris un peu mes distances. Je disposais à présent de mon étage à moi dans la maison familiale, un espace que j’occupais comme je le voulais et où je m’étais fait un véritable petit appartement complètement indépendant du reste de la maison. Et je pensais rester ici encore quelques temps jusqu’à ce que je surprenne une discussion entre mes parents. « Tu y penses sérieusement ? Tu crois vraiment que c’est la solution ? » « Ce n’est peut-être pas la solution, mais c’est la seule qui me semble envisageable pour l’instant. » « Mais tu te rends compte de ce que tu dis ? Marier notre fille à quelqu’un qu’elle ne connait pas, que même moi je ne connais pas. » « Bien sur que tu le connais, c’est le fils de … » « Ca tu me l’as déjà dit, mais la dernière fois que je l’ai vu, il devait avoir 10 ans. » « Mais ne t’en fait pas, c’est un garçon bien, il a une bonne situation et je suis sur qu’elle fera une bonne épouse et qu’ils auront de beaux enfants. » Je n’avais pas besoin d’en entendre plus pour savoir que je n’avais plus d’autre possibilité que fuir. Si je restais ici, dans quelques mois je me retrouverais mariée à un homme que je n’aimais pas, et pire encore que je ne connaissais pas. Les jours qui suivirent, je faisais mine de rien devant mes parents, agissant comme d’ordinaire. Mais en réalité, je me préparais à partir, à partir loin sans vraiment savoir où. Je déciderais le lieu à la dernière minute pour ne pas laisser de traces qui mèneraient mes parents sur ma piste. Je parlais de mes projets à Soukaïna, ma cousine, ma meilleure amie et la seule personne en qui je pouvais avoir vraiment confiance. Elle me soutenait au maximum et proposa même de m’accompagner pour m’aider. Je savais qu’avec elle de mon côté je ne risquerais rien et mes parents ne pourraient plus m’atteindre.

Février 2014. Ca y est, j’ai quitté ma vie et ma famille trop envahissante. Ca fait quelques mois que je suis arrivée à Astoria. Comment j’ai débarqué ici ? Complètement par hasard, grâce à un article dans un journal. Le nom de la ville me plaisait bien et sans même savoir qu’elle était liée à un site de rencontre, c’était là que je décidais de m’installer. Soukaïna m’a suivit et même si je sais qu’elle est en contact avec mes parents, elle ne me trahira pas et ne les laissera pas avoir à nouveau cette emprise malsaine qu’ils avaient sur moi. Depuis mon arrivée, je vis une nouvelle vie, j’ai put trouver une place en temps que webmaster, infographiste du site de rencontre et ca me plait énormément. Je m’investis à 300% dans ce boulot, dans ma nouvelle vie et dans les rencontres que je tente de faire. Même si je ne sais pas encore ce que c’est que de tomber amoureuse, j’espère que cela m’arrivera bientôt et je fais presque tout pour y arriver.


De l'autre coté du miroir

- pseudo - .freshblueberry - âge - 24 ans - localisation - France, région Centre - comment es-tu arrivé(e) ici - j'en suis la fondatrice - ton avis sur l'endroit - cute - niveau et fréquence de RP - 25 lignes minimum et 2 à 3 RPs par semaine - scénario ou inventé - inventé - un dernier mot - rejoignez nous !! great pompom yahoo

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